sur le site The Photographers Journal.
3-4 photos sur ce que je fais (passé et actuel) avec pourquoi pas des updates régulières.
Vous pourrez voir une diversité impressionnante de photographes de surf et sur ce site. Allez jeter un oeil, y'a du bon niveau.
Voir ici pour mon petit truc à moi et là pour le reste.
Le blog de Kristen Pelou. Photographe de surf, photographe d'architecture à Paris. Des news, des infos, des idées, quelques réflexions journalières (rarement) ou mensuelles (plus souvent) selon mon l'humeur et mon emploi du temps.
11 décembre 2012
10 décembre 2012
La fin du Burlingue - le livre
Tout nouveau tout chaud, un petit récapitulatif de ces dernières années dans feu* "le Burlingue".
* feu "le Burlingue" pour dire qu'on a déménagé depuis et que le Burlingue c'est fini, d'où le titre du petit livre!!
* feu "le Burlingue" pour dire qu'on a déménagé depuis et que le Burlingue c'est fini, d'où le titre du petit livre!!
03 décembre 2012
Scotché !
Par la dernière video GoPro quand la petite caméra fixée sur un mât (??) à l'arrière de la planche passe au dessus du tube, dans la lèvre qui tombe.
Y'a pas à dire, on est pas au bout de nos surprises avec ce petit machin qui filme en HD.
PS : comme pour tout, il ne suffit pas de posséder l'engin pour pondre des vidéos qui déboitent. C'est un film de pub avec des pro pour la production et surtout la post production...
Y'a pas à dire, on est pas au bout de nos surprises avec ce petit machin qui filme en HD.
PS : comme pour tout, il ne suffit pas de posséder l'engin pour pondre des vidéos qui déboitent. C'est un film de pub avec des pro pour la production et surtout la post production...
16 novembre 2012
25 octobre 2012
7 ans plus tard !!!
Le mois dernier, j'ai reçu par la poste une sélection de diapositives originales publiées il y 7 ans dans le magazine de windsurf allemand Surf Magazin.
A l'époque, la "perte" de ces orignaux avait plus ou moins (*) signé l'arrêt de la diffusion de mon reportage. A l'époque en effet, vous aviez une ou deux sélections d'images que vous faisiez tourner dans les rédactions susceptibles d'être intéressées par votre reportage. On vous renvoyait le lot après publication.
C'était une autre époque remarquez, tellement proche au niveau temporel mais si éloigné du côté technologique. Que vais-je faire de ces diapo perdues puis retrouvées maintenant ? Des abats-jours pour lampes de chevet ? Quelle rédaction de magazine de glisse accepterait de payer une séance de scan rotatif pour un reportage payé quelques centaines d'€€.
* : plus ou moins signé l'arrêt de la diffusion, plus ou moins seulement car j'avais tout de même scanné quelques images intéressantes avant.
A l'époque, la "perte" de ces orignaux avait plus ou moins (*) signé l'arrêt de la diffusion de mon reportage. A l'époque en effet, vous aviez une ou deux sélections d'images que vous faisiez tourner dans les rédactions susceptibles d'être intéressées par votre reportage. On vous renvoyait le lot après publication.
C'était une autre époque remarquez, tellement proche au niveau temporel mais si éloigné du côté technologique. Que vais-je faire de ces diapo perdues puis retrouvées maintenant ? Des abats-jours pour lampes de chevet ? Quelle rédaction de magazine de glisse accepterait de payer une séance de scan rotatif pour un reportage payé quelques centaines d'€€.
* : plus ou moins signé l'arrêt de la diffusion, plus ou moins seulement car j'avais tout de même scanné quelques images intéressantes avant.
25 août 2012
Caisson étanche Aquatech D-35 à vendre
Edit : le caisson et les boitiers ne sont plus dispo.
Après plusieurs années de bons et loyaux services, je vends mon caisson étanche Aquatech D-35. Conçu à la base pour l'EOS 5D (que je vends avec), je pense que pas mal d'autres boîtiers rentrent dans ce caisson mais je ne sais pas si toutes les options et boutons de contrôle sont alors bien accessibles.
- Caisson D-35 avec housse de protection
- Pistol grip / poignée
Dôme P-3 avec housse de protection : gros dôme de 8" pour photos mi-air / mi-eau et fisheye, marche aussi avec un 17-40mm, un 16-35, un 20mm, pas de zoom contrôle.
- Port / façade LP-Z avec zoom contrôle et housse de protection pour 24-70mm f:2.8L (convient aussi pour des 50mm et des petits télé genre 85mm, 100mm...)
- Port / façade LP-TZ avec zoom contrôle et housse de protection pour 70-200mm f2.8L (convient aussi pour des petits télé).
Les façades / port sont les modèles en acrylique (plastique) transparent. Ils sont compatibles avec tous les autres caissons Aquatech.
Je prends soin de mon matériel et le caisson a été rincé après chaque session, les façades ne présentent pas de rayures majeures (si ce n'est pas de rayures du tout) et le caisson est bien étanche :-) !! Je précise aussi que mon activité photo de surf depuis 2008 est relativement réduite, donc le caisson a peu de sorties à son actif (je dirai largement moins de 50 sorties).
Je vends également 2 boîtiers EOS 5D avec un grip (poignée contenant 2 batteries) ainsi que 3 batteries de remplacement, 2 chargeurs, câbles etc etc...
Acheté en janvier 2008
Caisson D-35 : 400€ (prix achat 1127€)
Pistol Grip : 100€ (prix achat 293 €)
Dome LP-3 : 200€ (prix achat 430€ avec la housse de protection)
Façade LP-TZ : 150€ (prix achat 315€ avec la housse)
Façade LP-Z : 150€ (prix achat 321€ avec la housse)
Set de joints O'rings : offert
EOS 5D #1 avec le grip et 2 batteries : 300€ (achat avril 2006)
EOS 5D #2 sans le grip et 2 batteries : 250€ (achat oct 2007)
Prix du lot avec le caisson, les façades et les 2 EOS 5D : 1250€
PS : l'EOS 7D rentre dedans mais aucun réglage n'est dispo à part le déclencheur du pistol grip.
Photos réalisées avec ce caisson :
Série natation à Antibes (plusieurs doubles pages publiées voir ici)
Petite série de photos pour RipCurl (catalogue et web je crois)
D'autres photos de surfeuses (pas d'action, plutot lifestyle mais regardez les images avec le soleil, pas de flare dû aux dome du caisson)
Un peu de surf aux Canaries
J'ai pas mal d'autres photos prises avec ce caisson mais elles font partie de mon projet secret :-)...
Quelques séries de photos réalisées avec l'EOS 5D :
Surf au Portugal (2 pubs A4 je crois),
Boujmaa Guilloul au Maroc (1 couv et plusieurs dizaines de pages de publications en Europe, 1 poster pour une compet organisée par Boujmaa),
Thomas Traversa aux Canaries (qq doubles pages et plusieurs reportages publiés en Europe),
Maud Lecar à Saint Martin (quelques publi et tirages 60x60cm),
Windsurf à Saint Martin (pas mal de publicatons et quelques images en doubles pages),
Kite en Bretagne (plusieurs images en doubles pages),
Dior Chine,
Portraits de surfers,
Rip Curl Girls,
Canaries, Paysages (testé sur un tirage papier peint en 2mx2m),
Voile à St Tropez (quelques tirages en 60 x90cm et publications), Archi - Dior Hong Kong
Après plusieurs années de bons et loyaux services, je vends mon caisson étanche Aquatech D-35. Conçu à la base pour l'EOS 5D (que je vends avec), je pense que pas mal d'autres boîtiers rentrent dans ce caisson mais je ne sais pas si toutes les options et boutons de contrôle sont alors bien accessibles.
- Caisson D-35 avec housse de protection
- Pistol grip / poignée
Dôme P-3 avec housse de protection : gros dôme de 8" pour photos mi-air / mi-eau et fisheye, marche aussi avec un 17-40mm, un 16-35, un 20mm, pas de zoom contrôle.
- Port / façade LP-Z avec zoom contrôle et housse de protection pour 24-70mm f:2.8L (convient aussi pour des 50mm et des petits télé genre 85mm, 100mm...)
- Port / façade LP-TZ avec zoom contrôle et housse de protection pour 70-200mm f2.8L (convient aussi pour des petits télé).
Les façades / port sont les modèles en acrylique (plastique) transparent. Ils sont compatibles avec tous les autres caissons Aquatech.
Je prends soin de mon matériel et le caisson a été rincé après chaque session, les façades ne présentent pas de rayures majeures (si ce n'est pas de rayures du tout) et le caisson est bien étanche :-) !! Je précise aussi que mon activité photo de surf depuis 2008 est relativement réduite, donc le caisson a peu de sorties à son actif (je dirai largement moins de 50 sorties).
Je vends également 2 boîtiers EOS 5D avec un grip (poignée contenant 2 batteries) ainsi que 3 batteries de remplacement, 2 chargeurs, câbles etc etc...
Acheté en janvier 2008
Caisson D-35 : 400€ (prix achat 1127€)
Pistol Grip : 100€ (prix achat 293 €)
Dome LP-3 : 200€ (prix achat 430€ avec la housse de protection)
Façade LP-TZ : 150€ (prix achat 315€ avec la housse)
Façade LP-Z : 150€ (prix achat 321€ avec la housse)
Set de joints O'rings : offert
EOS 5D #1 avec le grip et 2 batteries : 300€ (achat avril 2006)
EOS 5D #2 sans le grip et 2 batteries : 250€ (achat oct 2007)
Prix du lot avec le caisson, les façades et les 2 EOS 5D : 1250€
PS : l'EOS 7D rentre dedans mais aucun réglage n'est dispo à part le déclencheur du pistol grip.
Photos réalisées avec ce caisson :
Série natation à Antibes (plusieurs doubles pages publiées voir ici)
Petite série de photos pour RipCurl (catalogue et web je crois)
D'autres photos de surfeuses (pas d'action, plutot lifestyle mais regardez les images avec le soleil, pas de flare dû aux dome du caisson)
Un peu de surf aux Canaries
J'ai pas mal d'autres photos prises avec ce caisson mais elles font partie de mon projet secret :-)...
Quelques séries de photos réalisées avec l'EOS 5D :
Surf au Portugal (2 pubs A4 je crois),
Boujmaa Guilloul au Maroc (1 couv et plusieurs dizaines de pages de publications en Europe, 1 poster pour une compet organisée par Boujmaa),
Thomas Traversa aux Canaries (qq doubles pages et plusieurs reportages publiés en Europe),
Maud Lecar à Saint Martin (quelques publi et tirages 60x60cm),
Windsurf à Saint Martin (pas mal de publicatons et quelques images en doubles pages),
Kite en Bretagne (plusieurs images en doubles pages),
Dior Chine,
Portraits de surfers,
Rip Curl Girls,
Canaries, Paysages (testé sur un tirage papier peint en 2mx2m),
Voile à St Tropez (quelques tirages en 60 x90cm et publications), Archi - Dior Hong Kong
17 juillet 2012
Stormrider Guide France
Je collabore à ce guide de surf depuis sa seconde édition, je ne sais pas à combien ils en sont maintenant (4ème ?). Celui ci est un spécial France, chaque région y est un peu plus décortiquée que dans le spécial Europe, les photos un peu plus grandes.
Au début, dans la partie Bretagne, il n'y avait que des photos de Fred Le Leannec, puis Erwan Crouan et moi nous sommes ajoutés à la liste. Dans cette édition figurent également des images de FX Vince, Laurent "Bob" Nevarez et Menswave (?) qui forment un peu la relève des photographes de surf dans ce coin de France (Ronan Gladu, où es tu ?). Il y en a pas mal d'autres dans la relève mais ceux ci sont peut être les plus assidus.
J'entends certains crier à la trahison, le patrimoine surfistique breton en vente dans un bouquin, une fois de plus. J'avoue porter une certaine responsabilité là dedans. Ma première photo de surf publiée était un line up d'un spot à quelques dizaine de km du lieu où j'ai grandi. Depuis, le nom du spot est régulièrement cité sur les magazines, les blogs, certains "anciens" annoncent les prochaines sessions sur FB ambiance "venez tous ça va être fou". Tenter de vivre du surf pour un photographe repose sur la "vente" de (photos de) lieux, de vagues, de secret spots qui, puisqu'ils sont partagés quelques part, puisqu'une photo est visible dans un coin d'internet, perdent ce coté secret. C'est la première photo la pire, celle qui justifie les suivantes auxquelles s'ajoutent immanquablement quelques petites informations...
Lorsque l'éditeur m'a contacté pour cette nouvelle édition, je ne me suis pas posé trop de questions, j'ai participé aux précédentes, une de plus, pourquoi pas ! Mais plus tard, lorsque les photos étaient partie, je me suis demandé si c'était une bonne chose. Ma logique a en effet changée depuis l'époque des sessions quasi quotidiennes en pointe Bretagne, l'ambiance sur les spots a elle aussi évolué, plus de monde, de têtes inconnues, je suis moi même devenu un inconnu de plus. Aujourd'hui, en tant que photographe, je ne prends plus les photos de la même façon, avec la même logique qu'à mes débuts, ou peut être plus de la même façon depuis que je ne vis plus au bord de la mer. Je ne fais plus de photos de surf pour l'argent, je tente de réfléchir plus à une démarche, une idée directrice dans un travail à long terme, quelques chose que je ne souhaite publier ou dévoiler qu'une fois terminé. Le problème étant : ça fait des année que je suis dessus, sera t'il terminé un jour ?
La médiatisation du surf est une réalité à laquelle on ne peut sans doute plus échapper. Il y a maintenant trop d'argent en jeu. Mais ce qui me dérange le plus aujourd'hui, c'est le manque de vision, le coté mouton du surfer. Dans le bouquin figurent les spots français que leur quasi totalité. Pratique pour connaitre les bases mais combien tentent de voir un peu plus loin. Combien voient dans le surf autre chose que des vagues à se caler sous la planche, une genre de sport comme un autre alors qu'encore à mes débuts, il s'agissait peut être plus d'un prétexte pour faire autre chose que ce que les autres font. Je lisais un article il y a peu de temps sur le site de la marque Tainos intitulé "Esprit es tu là ?". On y lit que "le surf est devenu un sport de con". On ne peut malheureusement que le constater à pratiquement chaque session ! Remarquez cependant que l'on est tous le con d'un autre. Pour surfer, parler de surf, qui est légitime, qui ne l'est pas ?
Je pourrai continuer la dessus des heures, gardons en pour plus tard. Vous pouvez trouver les guides Stormrider sur le site de l'éditeur Lowpressure, suivez le lien. A noter qu'une nouvelle édition du guide sur les spots de windsurf et kitesurf d'Europe est en cours chez Stocked Publications, sans doute pour l'automne / hiver prochain.
PS : le gros Daniel, tu es sur 2 des photos, sauras tu les reconnaitre ?
Au début, dans la partie Bretagne, il n'y avait que des photos de Fred Le Leannec, puis Erwan Crouan et moi nous sommes ajoutés à la liste. Dans cette édition figurent également des images de FX Vince, Laurent "Bob" Nevarez et Menswave (?) qui forment un peu la relève des photographes de surf dans ce coin de France (Ronan Gladu, où es tu ?). Il y en a pas mal d'autres dans la relève mais ceux ci sont peut être les plus assidus.
J'entends certains crier à la trahison, le patrimoine surfistique breton en vente dans un bouquin, une fois de plus. J'avoue porter une certaine responsabilité là dedans. Ma première photo de surf publiée était un line up d'un spot à quelques dizaine de km du lieu où j'ai grandi. Depuis, le nom du spot est régulièrement cité sur les magazines, les blogs, certains "anciens" annoncent les prochaines sessions sur FB ambiance "venez tous ça va être fou". Tenter de vivre du surf pour un photographe repose sur la "vente" de (photos de) lieux, de vagues, de secret spots qui, puisqu'ils sont partagés quelques part, puisqu'une photo est visible dans un coin d'internet, perdent ce coté secret. C'est la première photo la pire, celle qui justifie les suivantes auxquelles s'ajoutent immanquablement quelques petites informations...
Lorsque l'éditeur m'a contacté pour cette nouvelle édition, je ne me suis pas posé trop de questions, j'ai participé aux précédentes, une de plus, pourquoi pas ! Mais plus tard, lorsque les photos étaient partie, je me suis demandé si c'était une bonne chose. Ma logique a en effet changée depuis l'époque des sessions quasi quotidiennes en pointe Bretagne, l'ambiance sur les spots a elle aussi évolué, plus de monde, de têtes inconnues, je suis moi même devenu un inconnu de plus. Aujourd'hui, en tant que photographe, je ne prends plus les photos de la même façon, avec la même logique qu'à mes débuts, ou peut être plus de la même façon depuis que je ne vis plus au bord de la mer. Je ne fais plus de photos de surf pour l'argent, je tente de réfléchir plus à une démarche, une idée directrice dans un travail à long terme, quelques chose que je ne souhaite publier ou dévoiler qu'une fois terminé. Le problème étant : ça fait des année que je suis dessus, sera t'il terminé un jour ?
La médiatisation du surf est une réalité à laquelle on ne peut sans doute plus échapper. Il y a maintenant trop d'argent en jeu. Mais ce qui me dérange le plus aujourd'hui, c'est le manque de vision, le coté mouton du surfer. Dans le bouquin figurent les spots français que leur quasi totalité. Pratique pour connaitre les bases mais combien tentent de voir un peu plus loin. Combien voient dans le surf autre chose que des vagues à se caler sous la planche, une genre de sport comme un autre alors qu'encore à mes débuts, il s'agissait peut être plus d'un prétexte pour faire autre chose que ce que les autres font. Je lisais un article il y a peu de temps sur le site de la marque Tainos intitulé "Esprit es tu là ?". On y lit que "le surf est devenu un sport de con". On ne peut malheureusement que le constater à pratiquement chaque session ! Remarquez cependant que l'on est tous le con d'un autre. Pour surfer, parler de surf, qui est légitime, qui ne l'est pas ?
Je pourrai continuer la dessus des heures, gardons en pour plus tard. Vous pouvez trouver les guides Stormrider sur le site de l'éditeur Lowpressure, suivez le lien. A noter qu'une nouvelle édition du guide sur les spots de windsurf et kitesurf d'Europe est en cours chez Stocked Publications, sans doute pour l'automne / hiver prochain.
PS : le gros Daniel, tu es sur 2 des photos, sauras tu les reconnaitre ?
22 juin 2012
C'était comme ça avant ...
20 juin 2012
What else ?!!
Je reconnais, la pizza refroidissait, je n'ai donc pas pris le temps d'attendre une belle série de vagues. Malgré le fait que le mec ne m'ait pas fait de belles slices avec sa roulette à pizz', j'ai tout de même passé un bon moment à baffrer en regardant les vagues.
A revoir la photo, je pourrais me lancer sans une suite de mes fameux plats du jours en faisant une série "bouffe & surfing" ...
PS : oui, ce sont des lardons sous le fromage, hummmm miam miam.

A revoir la photo, je pourrais me lancer sans une suite de mes fameux plats du jours en faisant une série "bouffe & surfing" ...
PS : oui, ce sont des lardons sous le fromage, hummmm miam miam.

19 juin 2012
On voit de belles choses en avion
16 mai 2012
Surfing
C'est un peu ma philosophie à l'eau mais j'ai l'impression que je ne la partage pas avec grand monde. Il était fort le Duke !
02 février 2012
Testée et approuvée
J'ai testé ma nouvelle 5-4 hooded de chez XCel. Elle trône à la maison depuis un bon moment déjà mais j'ai eu l'occasion de me mettre à l'eau avec la semaine dernière.
Enfilage combinaison pleine de givre à l'aube : OK ***
Session de 3h par vent on-shore 20 noeuds : OK
Session de 3h par vent off-shore de 20 noeuds (très frais) : OK
Pluie sous un grain : OK
Averse de grêle : OK
Sortir de l'eau et enchainer sur 30 mn de glande sur un banc de sable en plein vent pour attendre la bonne marée (test redoutable) : OK
Fin de session enchainée avec 1 km à pied sur la sable dans le vent off : OK
Un défaut, qui est aussi une qualité (un peu comme dire qu'on est perfectionniste à un entretien d'embauche) : il n'y a pas d'eau qui rentre dans la combinaison, elle ne ressort pas non plus, si les incontinents urinaires voient ce que je veux dire.
Un vrai défaut mais on a rien sans rien : c'est assez chiant à enfiler et à retirer, il parait qu'avec quelques gouttes d'huile d'amande douce aux extrémités, ça va mieux. On peut mettre de l'huile d'olive mais ça sent pas pareil (y paraît)
Tout ça pour dire que je viens de tester la meilleure combinaison que j'ai jamais eue sur le poil. Bon, je n'ai pas testé toutes les combinaisons du monde et il est vrai que le mois de janvier n'a pas été très froid jusqu'à présent mais devoir retirer sa cagoule pour plonger la tête dans l'eau et en faire couler dans le col parce qu'on a trop chaud, ça ne m'était jamais arrivé fin janvier. Je n'ai pas eu un frisson durant les nombreuses heures de session de la semaine dernière et ça, c'est vraiment la première fois que ça m'arrive. Tests réalisés avec chaussons mais sans gants.
(***) : pour ceux qui ne la connaissent pas encore, je vais vous faire part d'une théorie entendue très récemment : plutôt que de mettre sa combinaison à sécher dans ta salle bain (tellement 20em siècle comme technique), mieux vaut la laisser dehors dans la nuit glaciale (écolo, tu ne crames plus les calories apportées par ton chauffage pour transformer l'eau de ta combinaison en vapeur, en plus, les joints de ta salle de bain restent cleans et ça ne pue pas dans toute la baraque). Donc, tu laisses la combinaison dans le froid, comme ça, l'eau qu'elle contient va geler et ensuite, il suffit d'enlever le givre pour avoir une combinaison sèche... Bon, c'est pas con en théorie mais ça ne marche pas. En bonus, tu chopes une bonne onglée à retourner sa combine dans le vent off-shore gelé du matin ce qui te met direct dans l'ambiance de ta session hivernale.
Enfilage combinaison pleine de givre à l'aube : OK ***
Session de 3h par vent on-shore 20 noeuds : OK
Session de 3h par vent off-shore de 20 noeuds (très frais) : OK
Pluie sous un grain : OK
Averse de grêle : OK
Sortir de l'eau et enchainer sur 30 mn de glande sur un banc de sable en plein vent pour attendre la bonne marée (test redoutable) : OK
Fin de session enchainée avec 1 km à pied sur la sable dans le vent off : OK
Un défaut, qui est aussi une qualité (un peu comme dire qu'on est perfectionniste à un entretien d'embauche) : il n'y a pas d'eau qui rentre dans la combinaison, elle ne ressort pas non plus, si les incontinents urinaires voient ce que je veux dire.
Un vrai défaut mais on a rien sans rien : c'est assez chiant à enfiler et à retirer, il parait qu'avec quelques gouttes d'huile d'amande douce aux extrémités, ça va mieux. On peut mettre de l'huile d'olive mais ça sent pas pareil (y paraît)
Tout ça pour dire que je viens de tester la meilleure combinaison que j'ai jamais eue sur le poil. Bon, je n'ai pas testé toutes les combinaisons du monde et il est vrai que le mois de janvier n'a pas été très froid jusqu'à présent mais devoir retirer sa cagoule pour plonger la tête dans l'eau et en faire couler dans le col parce qu'on a trop chaud, ça ne m'était jamais arrivé fin janvier. Je n'ai pas eu un frisson durant les nombreuses heures de session de la semaine dernière et ça, c'est vraiment la première fois que ça m'arrive. Tests réalisés avec chaussons mais sans gants.
(***) : pour ceux qui ne la connaissent pas encore, je vais vous faire part d'une théorie entendue très récemment : plutôt que de mettre sa combinaison à sécher dans ta salle bain (tellement 20em siècle comme technique), mieux vaut la laisser dehors dans la nuit glaciale (écolo, tu ne crames plus les calories apportées par ton chauffage pour transformer l'eau de ta combinaison en vapeur, en plus, les joints de ta salle de bain restent cleans et ça ne pue pas dans toute la baraque). Donc, tu laisses la combinaison dans le froid, comme ça, l'eau qu'elle contient va geler et ensuite, il suffit d'enlever le givre pour avoir une combinaison sèche... Bon, c'est pas con en théorie mais ça ne marche pas. En bonus, tu chopes une bonne onglée à retourner sa combine dans le vent off-shore gelé du matin ce qui te met direct dans l'ambiance de ta session hivernale.
31 janvier 2012
06 janvier 2012
Portfolio photos aquatiques YARDS magazine
Je ne sais pas pourquoi tout le monde a besoin de photos en fin d'année, toujours est-il que je commence à retrouver la surface après plusieurs semaines à fond et quelques jours de vacances.
Je viens de recevoir le pdf d'un portfolio de 10 pages sur des images aquatiques réalisées au Cercle des Nageurs d'Antibes avec le Team Elite entrainé par Franck Esposito en novembre dernier. Alain Bernard n'était pas là mais l'expérience fut néanmoins très intéressante avec une impressionnante quantité de nageuses et nageurs de très haut niveau. J'ai découvert par la même occasion que l'on pouvait se taper 2x7 km par jour à la nage : 2 heures le matin vers 7h, 2 heures le soir en fin d'après midi et rester debout tout le reste de la journée. Moi après l'échauffement de 800m et les premières séries avec les paddles, je pense que je peux filer au lit pour le reste de la journée !
En novembre, il y a eu une belle tempête dans le sud-est. Mon train est passé entre deux journées de coupure de voie. Il y avait un vent de dingue et des bateaux coulés dans les ports du coin. Ca n'a pas empêché mes modèles de nager dans le bassin extérieur plein de feuilles de platane. De toutes façon, ils le font toute l'année même quand l'eau n'est plus chauffée pour cause de chaudière en rade, alors, un peu de vent, c'est pas ça qui va les ralentir. Allez, tout le monde en slip et à la flotte.
A chaque fois, avant un shooting, je me fais toute une série d'images dans la tête, j'essaie ensuite de les réaliser. Et là, en apnée avec un masque et 4-5kg de plomb accrochés à la ceinture, c'est devenu tout à coup moins évident comme vous pouvez sans doute l'imaginer. Dans la pistoche, chaque couloir est divisé en 2, comme une route, les nageurs font les allers-retours là dedans à une cadence d'enfer. Moi je suis assis/allongé au fond ou calé le long des lignes de séparation. Un nageur passe dans un sens, clic clac Kodak, un autre le suit, clic clac Kodak, le premier fait demi tour au bout et revient empêchant la remonté, un autre arrive, je suis déjà super limite, le second fait demi tour et un quatrième arrive, les poumons chauffent bizarrement, il me faut de l'air. Merde j'avais oublié le cinquième gars, idem dans les deux couloirs voisins et moi je suis coincé au fond. Je me suis fait avoir quelques fois avant de comprendre comment tout cela marchait ! Aucune photo valable le premier jour, une poignée le lendemain. J'ai pris mon rythme au cours des entrainements.
Tôt le matin et au couché du soleil, sous l'eau, au mois de novembre, dans la tempête, la lumière n'est pas toujours exceptionnelle, j'avais donc besoin d'optiques ouvertes. J'ai utilisé mon caisson de surf avec différentes optiques : 15mm f2.8, 24-70 f2.8 et 100 f2 je crois. J'ai aussi testé le 50mm, le 17-40 et le 70-200. J'aime bien le rendu dense et très bleu des images même si je ne les avais pas traitées de cette façon et que certaines ont été un peu trop retravaillées dans les ombres les rendant un peu artificielles (un peu type HDR). Cela fait quelques années que je n'ai pas chercher de commandes directes de la presse et je suis très satisfait du résultat, tant du point de vu du rendu que de la rémunération (ça compte car si les photographes travaillent souvent AVEC plaisir cela ne veut pas dire qu'il le font POUR le plaisir). Vous pouvez trouver les images dans le #2 du magazine YARDS dans vos kiosques.
Petite cerise sur le gâteau, comme il y a toujours un surfer où que l'on tombe, j'ai découvert, grâce à Régis, l'autre coach du Team Elite, le spot de la Tour vers le Cap d'Antibes où je me suis adonné aux joies du bodysurf faute de planche disponible. Je suis parait-il tombé sur la session de l'année : une taille presque overhead, la foule des grands jours, une eau marron à 18-19°C (en novembre, c'est bon), des vagues un peu molles étant donné la taille mais l'inside claquait quand même pas trop mal sur les rochers à fleur d'eau. Marrant ! Le lendemain, c'était toujours la tempête, la mer était blanche d'écume mais le spot ne marchait plus du tout. Allez comprendre !..
Le site web du magazine YARDS
Je viens de recevoir le pdf d'un portfolio de 10 pages sur des images aquatiques réalisées au Cercle des Nageurs d'Antibes avec le Team Elite entrainé par Franck Esposito en novembre dernier. Alain Bernard n'était pas là mais l'expérience fut néanmoins très intéressante avec une impressionnante quantité de nageuses et nageurs de très haut niveau. J'ai découvert par la même occasion que l'on pouvait se taper 2x7 km par jour à la nage : 2 heures le matin vers 7h, 2 heures le soir en fin d'après midi et rester debout tout le reste de la journée. Moi après l'échauffement de 800m et les premières séries avec les paddles, je pense que je peux filer au lit pour le reste de la journée !
En novembre, il y a eu une belle tempête dans le sud-est. Mon train est passé entre deux journées de coupure de voie. Il y avait un vent de dingue et des bateaux coulés dans les ports du coin. Ca n'a pas empêché mes modèles de nager dans le bassin extérieur plein de feuilles de platane. De toutes façon, ils le font toute l'année même quand l'eau n'est plus chauffée pour cause de chaudière en rade, alors, un peu de vent, c'est pas ça qui va les ralentir. Allez, tout le monde en slip et à la flotte.
A chaque fois, avant un shooting, je me fais toute une série d'images dans la tête, j'essaie ensuite de les réaliser. Et là, en apnée avec un masque et 4-5kg de plomb accrochés à la ceinture, c'est devenu tout à coup moins évident comme vous pouvez sans doute l'imaginer. Dans la pistoche, chaque couloir est divisé en 2, comme une route, les nageurs font les allers-retours là dedans à une cadence d'enfer. Moi je suis assis/allongé au fond ou calé le long des lignes de séparation. Un nageur passe dans un sens, clic clac Kodak, un autre le suit, clic clac Kodak, le premier fait demi tour au bout et revient empêchant la remonté, un autre arrive, je suis déjà super limite, le second fait demi tour et un quatrième arrive, les poumons chauffent bizarrement, il me faut de l'air. Merde j'avais oublié le cinquième gars, idem dans les deux couloirs voisins et moi je suis coincé au fond. Je me suis fait avoir quelques fois avant de comprendre comment tout cela marchait ! Aucune photo valable le premier jour, une poignée le lendemain. J'ai pris mon rythme au cours des entrainements.
Tôt le matin et au couché du soleil, sous l'eau, au mois de novembre, dans la tempête, la lumière n'est pas toujours exceptionnelle, j'avais donc besoin d'optiques ouvertes. J'ai utilisé mon caisson de surf avec différentes optiques : 15mm f2.8, 24-70 f2.8 et 100 f2 je crois. J'ai aussi testé le 50mm, le 17-40 et le 70-200. J'aime bien le rendu dense et très bleu des images même si je ne les avais pas traitées de cette façon et que certaines ont été un peu trop retravaillées dans les ombres les rendant un peu artificielles (un peu type HDR). Cela fait quelques années que je n'ai pas chercher de commandes directes de la presse et je suis très satisfait du résultat, tant du point de vu du rendu que de la rémunération (ça compte car si les photographes travaillent souvent AVEC plaisir cela ne veut pas dire qu'il le font POUR le plaisir). Vous pouvez trouver les images dans le #2 du magazine YARDS dans vos kiosques.
Petite cerise sur le gâteau, comme il y a toujours un surfer où que l'on tombe, j'ai découvert, grâce à Régis, l'autre coach du Team Elite, le spot de la Tour vers le Cap d'Antibes où je me suis adonné aux joies du bodysurf faute de planche disponible. Je suis parait-il tombé sur la session de l'année : une taille presque overhead, la foule des grands jours, une eau marron à 18-19°C (en novembre, c'est bon), des vagues un peu molles étant donné la taille mais l'inside claquait quand même pas trop mal sur les rochers à fleur d'eau. Marrant ! Le lendemain, c'était toujours la tempête, la mer était blanche d'écume mais le spot ne marchait plus du tout. Allez comprendre !..
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